Publicités Eram

1974 Chaussures Buggy

Sur fond de musique religieuse, une bande de jeunes s'avance de la plage vers la mer. Voix off : "Ce film a été réalisé à la gloire des Buggy d'Éram". Au début on ne voit que leurs jambes et leurs pieds : certains portent des Buggy d'Éram, d'autres pas. Certains marchent sur l'eau, d'autres pas. La voix off reprend : "Ah...! Les beaux, les glorieux, les resplendissants Buggy ! Les Buggy d'Éram."

1976 La femme Éram

Certains reconnaîtront dans ce spot la comédienne Nicole Garcia, qui est alors au début de sa carrière. Filmée de dos, elle est assise sur un fauteuil pivotant, se retourne et s'adresse directement à la caméra : "La femme n'est pas l'égale de l'homme. La cuisine ? Moi j'adore la faire. Qu'un homme m'offre des fleurs, des cadeaux, je trouve ça normal. J'adore la futilité... J'aime bien m'habiller, j'aime bien aller chez le coiffeur, j'aime bien être belle, j'aime bien... m'acheter des chaussures... Ça vous choque, d'entendre ça aujourd'hui ? Moi, ce qui me choque, c'est d'acheter des chaussures à n'importe quel prix." Elle regarde ses pieds chaussés de sandales Éram : "55 francs !".

1976 Chez la fleuriste

Ce spot est filmé à la façon d'un film muet : pas de dialogues mais un petit air pimpant qui est joué au piano. Une jeune femme (Marie-Anne Chazel) marche sur un trottoir en ville. Elle porte une robe et des sabots en plastique. Elle passe devant une boutique de fleurs, s'arrête brusquement puis revient sur ses pas vers le magasin. Elle s'adresse à la fleuriste (Josiane Balasko) en lui faisant des signes à travers la vitrine. La fleuriste comprend que la jeune femme lui désigne ses belles bottes en cuir. Marie-Anne Chazel entre dans le magasin et échange quelques mots avec Josiane Balasko qui acquiesce avec un grand sourire. Marie-Anne Chazel ressort alors de la boutique chaussée des bottes de Balasko qui, elle, porte les sabots en plastique de Chazel. Voix off : "Avec Éram, changez de chaussures comme ça vous plaît !". Musique : composition originale.

1983 Hommes en cuir rouge

Ce spot fait partie de la longue série de publicités dédiées aux comédies musicales. À l'entrée d'un bar de nuit, le videur s'adresse à un client au travers d'une trappe dans la porte : "Cuir ?". Le client, habillé d'un marcel noir, d'une casquette et de vêtements en cuir rouge (y compris les chaussures), lui répond : "Cuir". À l'intérieur du bar, trois hommes vêtus de cuir rouge se mettent à danser sur un air de blues dont les paroles vantent les chaussures : "Éram, 199 francs, il faudrait être fou pour dépenser plus !". Musique : composition originale.

1983 Reine Élisabeth

Toujours dans l'esprit d'une mini-comédie musicale, on plonge ici dans un décor de palace britannique et une jeune femme ressemblant beaucoup à la reine Élisabeth lance "Eh Laurent, t'as vu mes nouvelles Éram ?". L'homme en question, impassible, abaisse son journal alors que cinq "Élisabeth" se mettent à chanter et danser sur un air pop rétro : "Éram, il faudrait être folle pour dépenser plus, 229 francs prix maximum, il faudrait être folle pour dépenser plus !". Elle finissent leur chorégraphie par un grand écart et l'homme s'adresse à la caméra avec un accent anglais : "Je suis... effondré". Musique : composition originale.

1985 Les danseurs avec Marc Lavoine

Un homme habillé d'un long tailleur rouge semble attendre à côté d'une fontaine, dans un décor surplombé de la tour Eiffel. La musique commence et c'est une reprise d'un morceau de Stone & Charden, interprété ici par Marc Lavoine : "Est-ce une fille ou un garçon, un garçon aux cheveux longs, ou une fille en pantalon, c'est là la question". Le refrain est repris en choeur par plusieurs femmes au cheveux courts et habillées d'un costume noir. Puis une chorégraphie oppose le groupe d'hommes en tailleur et les femmes en costume, chacun lançant à l'autre le prix de ses chaussures, avant de finalement se rejoindre. Musique : "Une fille ou un garçon", Stone & Charden.

1989 Le conducteur

Le spot se déroule en bordure d'un bois, en pleine nuit. Une femme vêtue d'un mini-tailleur en vinyle orange est appuyée contre un arbre et se remet du rouge à lèvres. Une voiture arrive et le conducteur, joué par le comédien François Berléand, baisse la vitre et demande à la femme : "C'est combien ?". Celle-ci lui répond en chantant : "Éram, 165 francs" alors que deux autres femmes habillées de la même façon surgissent et se joignent au chant sous le regard éberlué de Berléand. Tout à coup un canapé tombe du ciel. Quatre femmes en tailleur rose chic sont assises dessus et tiennent un combiné téléphonique à la main : "Ou bien... 159 francs...". L'une d'elles raccroche après avoir lancé "Vendez tout !" alors qu'arrivent trois autres femmes habillées dans un style glam-punk mêlant vêtements noirs moulants et talons aiguilles verts : "Ou encore, 189". Toujours au volant de sa voiture, Berléand s'émerveille devant toutes ces femmes : "Quels beaux souliers...". Musique : composition originale.

1990 Cendrillon moderne

Le ton de ce spot est donné par la bande sonore digne d'une épopée romantique. Dans une soirée plutôt chic, un homme et une femme échangent des regards. Il s'approche d'elle, ils font connaissance puis il regarde sa montre et s'en va soudainement. La femme se lève pour se lancer à sa poursuite pendant que l'homme, déjà dehors, enlève l'une de ses chaussures pour la déposer avec sa carte de visite sur les marches du perron de la propriété. La jeune femme se rend à l'adresse indiquée sur la carte, elle commence à monter les escaliers en courant puis, arrivée sur le palier, elle manque de bousculer une autre femme. Elle s'aperçoit alors qu'elle n'est pas la seule arrivée à cette adresse puisqu'une longue rangée de femmes en tenue de soirée patientent devant la porte. Un air jazzy démarre alors que les femmes se retournent l'une après l'autre, chacune sa chaussure d'homme à la main et en chantant les prix des souliers. Voix off masculine suave : "Éram, il faudrait être fou pour dépenser plus".

2004 L'entretien d'embauche

Une jeune femme est assise devant une table de réunion autour de laquelle sont installés plusieurs hommes. Elle s'adresse à eux très simplement, tout en rangeant tranquillement ses papiers dans son sac et devant les recruteurs qui sont de plus en plus mal à l'aise : "Bon, disons que mon point faible pour ce poste c'est d'être une femme. Donc une pondeuse, qui sera enceinte tous les deux ans, qui devra être rentrée chez elle à 19h pour s'occuper de ses mômes, et qui vous fera un procès pour harcèlement sexuel quand vous lui pincerez les fesses à la photocopieuse... En revanche, l'avantage c'est qu'à travail égal vous allez me payer 30% de moins qu'un homme...". Elle se lève et conclut : "... Mais bon, on dépense l'argent tellement moins bêtement que vous !" pendant que la caméra fait un gros plan sur ses escarpins Éram.

2018 Été 2018

Ce spot revient à des codes biens plus classiques et réunit de nombreuses personnes aux styles et aux personnalités variées pour présenter la collection de chaussures Éram de l'été 2018, le tout sur une musique R&B pop. Musique : composition originale.

Publicités Eram

Liens utiles

Sites pratiques

Les marques par années