Publicités Bouygues Telecom

2004 Le Voyage
Ce spot Bouygues Telecom est entièrement musical. On entre dans une pièce remplie de disques plus ou moins bien rangés avec au fond, posée devant la fenêtre, une platine dont le bras s'abaisse sur le vinyle. Le morceau a déjà commencé lorsque l'on voit le diamant lire le sillon et que le disque s'éparpille en un nuage de gros pixels qui s'échappent par la fenêtre et s'envolent à travers la ville. C'est ensuite une jeune femme qui se promène dans un quartier résidentiel et se transforme à son tour en nuage de pixels, puis un jeune garçon jouant à un jeu d'arcade. Dans une salle de sport, le basketteur Tony Parker se pixellise aussi, puis un homme attablé avec des amis. Le nuage de pixels grossit au fur et à mesure, poursuit sa route à travers les airs vers un aéroport et semble rattraper un homme qui se dirige vers un guichet d'embarquement. Alors que l'homme referme son téléphone, le nuage de pixels disparaît aussitôt. Voix off : "Bouygues Telecom, un nouveau monde : le vôtre". Musique : "Meets His Maker", DJ Shadow.
2010 Le Réseau
Une forêt, des chants d'oiseaux... puis tout à coup, le rugissement d'un animal. Une biche relève sa tête subitement alors que le plan suivant montre un ours visiblement très agité. L'ours de met à avancer, la biche s'enfuit et l'ours va s'appuyer contre un arbre et l'agite. Au sommet de l'arbre, un hibou hulule alors que l'ours continue son chemin en grognant, effraye des lapins dans leur terrier et terrorise un écureuil posé sur un rocher. L'ours se met à grogner encore plus fort puis un texte s'affiche à l'écran : "... moi, c'est ce que je ressens quand j'entends encore dire qu'on n'a pas un bon réseau chez Bouygues Telecom." Le texte est signé "Pierre, Ingénieur réseau". Le sport se termine sur le jingle : "Bouygues Telecom, en faire plus pour vous".
2018 Noël inoubliable
Un homme met une cassette audio dans un magnétophone, enclenche la lecture d'un classique rock des années 70's et se met à bouger sur le rythme du morceau, sous l'oeil de son tout petit garçon qui joue tranquillement assis par terre. Le père et son fils, qui a grandi, se baladent en ville alors qu'il neige, passent devant un magasin Bouygues Telecom et s'arrêtent devant une boutique de jouets qui diffuse le morceau. Le père se met alors à danser sur le trottoir et son fils se dandine avec lui. Dans le plan suivant, le petit garçon est devenu un jeune ado et est assis avec son père en voiture : le morceau passe à la radio et le père monte le son en gigotant en rythme. Le jeune ado est devenu jeune adulte, le père a laissé pousser sa barbe et, alors qu'ils sont attablés dans une cafétéria, le téléphone du père sonne, ladite sonnerie étant bien sûr la chanson que l'on entend depuis le début. Le père se met alors à danser en plein milieu du restaurant sous l'oeil un peu gêné de son fils. Le morceau s'arrête. Quelques années ont passé, le papa est en train de lire dans son fauteuil lorsqu'il entend une sorte de sonnerie étouffée. C'est Noël, plusieurs paquets sont déjà sous le sapin et le son semble venir de l'un d'eux. Le père ouvre l'emballage qui dévoile un coffret de téléphone Bouygues Telecom et il répond à l'appel : on voit alors à l'écran son fils devenu un homme : "Salut Papa ! Joyeux Noël !". Il tient un petit garçon dans les bras et se met à danser devant l'écran, sur le fameux morceau préféré de son père qui se met à danser aussi de son côté. Voix off : "À Noël, offrez bien plus que de la technologie. Vivez un Noël inoubliable avec Bouygues Telecom". Musique : "Come and get Your Love", Redbone.
2019 Netflix
Un ado, allongé sur son lit dans sa chambre, est en train de regarder une série Netflix (La Casa de Papel) sur son téléphone. Mais le téléphone s'éteint : plus de batterie. Il commence à fouiller toute sa chambre pour trouver un chargeur, regarde rapidement s'il n'en trouve pas un dans la chambre d'à côté puis descend dans le salon où sa mère est en train de lire, installée dans le canapé. On voit l'ado poursuivre ses recherches en arrière-plan, dans la cuisine, pendant que la maman referme son livre l'air de rien, attrape la télécommande de la télévision, enclenche Netflix et met en route la série que regardait son fils. Ce dernier entend la bande-son et vient s'asseoir à côté de sa mère, à la fois contente de sa petite astuce et heureuse d'avoir son grand fiston assis à ses côtés. Discrètement, elle repousse du pied un chargeur posé sur le canapé, déjà à moitié caché par un coussin, de façon à le dissimuler ciomplètement. Le spot se termine sur la description de l'offre commerciale en voix off. Musique : "Bella Ciao", Jean-Michel Panunzio & Patrice Bernardini.
2020 Max et Romain
À travers la planche manquante de la palissade de son jardin, le petit Romain observe une famille en train d'emménager dans la maison d'à côté. Son nouveau voisin, Max, lui fait un signe de la main et c'est le début d'une grande amitié. Les garçons, inséparables, se sont créé le rituel de communiquer l'un avec l'autre en s'envoyant des signaux lumineux avec une lampe torche depuis la fenêtre de leur chambre. On les voit grandir ensemble et partager de nombreux moments. Les enfants deviennent des ados mais utilisent toujours leur code lumineux pour se faire signe et faire le mur en pleine nuit. Puis un jour, Max déménage et on les sent tous les deux bien malheureux. Romain appelle Max qui ne décroche pas, se dirige vers la fenêtre avec sa lampe torche à la main tout en sachant que Max n'est pas là pour répondre (c'est une vieille dame qui apparaît à la fenêtre). La vie suit son cours, Romain et sa petite amie quittent le foyer familial, puis on les retrouve devenus parents. En visite dans sa maison d'enfance avec sa femme et son bébé, Romain regarde avec nostalgie la brèche dans la palissade qui a été réparée et s'attarde sur quelques vieilles photos de lui et Max qu'il retrouve dans le tiroir de son bureau. Rentré chez lui, Romain est assis dans une semi-obscurité et cherche son ami sur les réseaux sociaux. Puis, alors qu'il est resté tard à son bureau et qu'il fait déjà nuit, il reçoit une notification sur son téléphone : l'image qui apparaît sur l'écran est le dessin d'une lampe torche. Il relève la tête et réalise qu'une lumière semble clignoter quelque part. Il va vers la fenêtre et voit en bas, sur le trottoir d'en face, un homme qui envoie des signaux avec une lampe torche. On comprend qu'il s'agit de Max : Romain descend aussitôt le rejoindre et les deux amis tombent dans les bras l'un de l'autre. Le spot se termine sur des images vidéo "vintage" de moments partagés entre les deux enfants pendant que la voix off explique l'importance des relation humaines. Musique : "I'm Gonna Be (500 Miles)", Sleeping At Last.
2020 Le van de Noël
C'est le soir du réveillon de Noël, en ville. Un homme sort d'un magasin Bouygues Telecom avec un paquet à la main et traverse la route rapidement pour monter dans un van où l'attendent plusieurs personnes de sa famille. Le van démarre et la jeune femme assise à côté du conducteur passe un appel vidéo sur son téléphone accroché au tableau de bord : "Oui, juste pour te dire, on est sur la route !". C'est une autre jeune femme qui lui répond depuis sa tablette : "Ok ok, top, je vous laisse, il y a plein de trucs à finir, bisous bisous !". Mais, alors que l'on pense que la communication est terminée, la jeune femme n'a pas éteint sa tablette et les passagers du van l'entendent dire "C'était ma soeur, tu verras, elle est hyper sympa !...". La passagère qui avait passé l'appel murmure "Oh, elle a pas raccroché !" alors que sa soeur continue de parler, sans réaliser que tous les autres l'entendent : "... Par contre avec son mari Patrick, ils sont jamais d'accord." La passagère commente "bah, c'est pas vrai..." et le conducteur lui répond : "Bah si...". La jeune fille poursuit : "Y'aura aussi ma tante Béné, même brushing depuis 87..." et l'on voit la "tante Béné", assise à l'arrière du van, faire une grimace étonnée. La critique de la famille passe ainsi en revue chacun des passagers du van qui réalise et réagit à la descriptions de ses petits travers, comme le cousin qui amène les huîtres mais les mange toutes. Lorsqu'elle passe au jeune Arthur, elle explique que c'est un "gros, gros gamer" et que c'est pour ça qu'elle lui "a pris la console". La jeune fille entend un cri de joie venu de nulle part, s'arrête un instant puis reprend : "J'espère qu'ils ont pas oublié Paul, il est tellement discret qu'à chaque fois ils oublient de passer le prendre" tandis que dans le van, il est clair qu'on a "oublié Paul". Le van arrive enfin à destination, la jeune femme accueille ses invités et son cousin lui dit en aparté : "Ah et j'ai pas amené d'huîtres hein, je les ai déjà toutes mangées". Elle réalise alors ce qui s'est passé, confuse : "Non !....". Musique : "Et si tu n'existais pas", Joe Dassin.
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